Outre une plainte en Algérie, Saâda Arbane, 31 ans, a assigné en France l’écrivain, l’accusant d’avoir utilisé son histoire pour nourrir son roman « Houris », récompensé par le prix Goncourt en novembre 2024. Une première audience a lieu mercredi 7 mai, à Paris.
L’institution a permis à l’Etat d’alléger les conditions de remboursement de sa dette, en contrepartie d’investissements dans des infrastructures scolaires. Un modèle qu’elle souhaiterait reproduire dans d’autres pays émergents.
Dans un texte publié dans « La Tribune Dimanche », 1 500 élus appuient la proposition de loi du socialiste Guillaume Garot, qui revient en séance à l’Assemblée nationale le 6 mai. De nombreux édiles estiment que la concurrence pour attirer des praticiens est délétère.
Les régimes de Donald Trump, de Viktor Orban ou de Narendra Modi font ériger des bâtiments qui exaltent les racines et un passé fantasmés.
Le chef de l’Etat souhaite remettre à plat « l’organisation des journées » des élèves et s’empare ainsi d’un sujet hautement inflammable, aux ramifications multiples. Une « diversion », selon les syndicats d’enseignants, pour qui l’urgence est ailleurs.
Oleksandr Bohouslaïev, fils de l’ex-patron d’un fleuron ukrainien de l’aviation, est soupçonné d’avoir blanchi des millions d’euros dans de l’immobilier sur la Côte d’Azur. Il a été placé en garde à vue et ses biens ont été saisis par la justice française.