Quatorze requérants accusent les autorités de manquer à leur obligation de protéger la population face aux impacts du réchauffement. Un recours inédit dans l’Union européenne sur les enjeux d’adaptation.
L’annonce tonitruante par Donald Trump, mercredi 2 avril, d’une hausse des droits de douane frappant les importations aux Etats-Unis peut être jugée brutale, irrationnelle ou contre-productive. Mais au prisme du temps long, cette remontée en flèche des taxes donne surtout l’impression que le président américain entend refermer la parenthèse de la mondialisation.
Selon les données de Météo-France, le Sud et l’Est de la France, Lyon, Toulouse et Paris vont être particulièrement touchés.
Les Etats-Unis risquent de frôler la stagflation et l’Europe la stagnation. Les consommateurs américains pourraient perdre 3 800 dollars de pouvoir d’achat, les plus pauvres seront les premiers touchés.
En raison du ralentissement chinois, les Etats-Unis étaient devenus le premier partenaire commercial de l’Allemagne l’an dernier. Au lendemain du « jour de la libération », les organisations patronales ont appelé à négocier pour éviter un effondrement des échanges transatlantiques.
La suppression des zones à faibles émissions, qui sera débattue à l’Assemblée nationale à partir du 8 avril, autoriserait de nouveau les véhicules les plus polluants dans les grandes agglomérations.