Depuis le 1ᵉʳ janvier 2024, les imams étrangers doivent être salariés d’une association française et non plus fonctionnaires d’un autre pays pour pouvoir officier sur le territoire. Sur les 300 imams détachés exerçant jusque-là, une cinquantaine de cas reste encore à examiner, selon le ministère de l’intérieur.
Au Centre d’études et de recherches pour la petite enfance, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), des femmes dont beaucoup travaillent déjà depuis des années dans le secteur de la petite enfance, détaillent leurs parcours, alors que le métier connaît une profonde désaffection.