L’usine de Forest, en Belgique, a définitivement baissé le rideau vendredi 28 février, licenciant 3 000 personnes. L’immense site, près de Bruxelles, n’a pas encore trouvé repreneur, alors que la ville-région s’enfonce dans une situation politique chaotique.
Les festivités, qui se tiennent du 28 février au 8 mars au Brésil, attirent des dizaines de milliers de personnes et génèrent des revenus considérables, notamment pour l’industrie textile et les entreprises du tourisme.
« Les valeurs du groupe (…) n’ont rien à voir avec celles précédemment véhiculées » par l’émission « Touche pas à mon poste ! » de l’animateur sur C8, a dénoncé, vendredi, un communiqué des sociétés des journalistes de la radio RTL et de M6.
Les salariés du lieu culturel, occupé par plus de 400 jeunes migrants en recours auprès de la juge des enfants, ont exercé leur droit de retrait et dénoncent une situation de blocage résultant d’un bras de fer entre l’Etat et la Mairie de Paris.
Le bénéfice a baissé de 70 % en 2024 et l’entreprise a enregistré un flux de trésorerie négatif, signes que la machine à profits mise en place par l’ex-directeur général a fini par se gripper. Une stratégie de relance est en train de se dessiner à l’opposé de la méthode précédente.
L’animatrice et cinq patrons de la grande distribution lancent une triple initiative pour aider les agriculteurs en difficulté à écouler leurs produits à bon prix. Les représentants de l’agroalimentaire et des filières agricoles sont dubitatifs, alors que les négociations commerciales annuelles sont en train de s’achever.