Les deux start-up annoncent un partenariat, avec l’ambition de « révolutionner le secteur de la défense », industrie particulièrement propice au développement de l’intelligence artificielle.
Si elle ne souhaite pas de grande réforme, la ministre insiste sur la nécessité d’assouplissements ciblés, notamment pour faciliter la rénovation énergétique.
La liste communiquée lundi est sans surprise. Le candidat de l’Elysée pour la présidence de l’institution de la rue de Montpensier cristallise les critiques. Ces trois noms doivent à présent être validés par le Parlement.
« C’est l’équivalent pour la France de ce que les Etats-Unis ont annoncé avec Stargate », a estimé le chef de l’Etat. Parmi les data centers lancés, l’un le sera par l’entreprise française Mistral AI.
La France organise, lundi et mardi, un rendez-vous mondial sur l’intelligence artificielle, au moment où les Etats-Unis veulent distancer la Chine sur cette technologie et contestent la régulation européenne.
La procédure avait été annulée en première instance en raison d’irrégularités. En appel, vendredi, le parquet général s’est désisté, mettant un terme à l’action publique.