Près de Dunkerque, Sylvie Desjonquères, ancienne responsable d’Emmaüs Grande-Synthe, a transformé la bâtisse de son enfance en abri pour les réfugiés. Depuis cinq ans, la Maison Sésame leur offre une halte précieuse, loin de la violence des camps.
L’édile de cette ville bretonne est confronté au développement du trafic de drogue, qui génère une violence à laquelle les habitants n’étaient pas habitués. Au-delà des mesures sécuritaires prises, il rappelle l’importance du travail social pour lutter contre le phénomène.
Dans son ouvrage « Combattre la criminalité », le magistrat belge Michel Claise dresse un bilan dramatique de la lutte contre la fraude, les trafics et la corruption, et dénonce l’insuffisance des mesures.
Document aussi utile qu’affectif, ce symbole de l’enfance a pris, au fil des décennies, le pli des changements sociétaux et médicaux. Sa nouvelle version, disponible depuis le 1ᵉʳ janvier, contient des recommandations sur l’exposition aux écrans, l’éducation sans violence ou la prévention des troubles sensoriels et du neurodéveloppement.